L’inévitable calcul
Tokyo brillait sous les néons, un équipe de lumières pulsantes qui reflétaient la cadence ininterrompue des données circulant dans l’infrastructure numérique de le lieu. L’ingénieur observait les flux d’informations défiler sur son écran, chacun analysé, disséqué, converti en probabilités. Son liaison artificielle, baptisée Orac